Le Bauer P7

Un pas de plus vers la perfection

Projecteur P7

D’abord le P7 est un appareil de fabrication allemande, donc très fiable! Chargement automatique, on peut également le charger manuellement (ce qui n’était pas le cas du P6) mais cela demande une grande dextérité. L’appareil fonctionne avec une lampe à miroir froid de 24V 250w, un amplificateur de 15 à 20W en son optique pour ce modèle avec un haut parleur incorporé.

De même il accepte des bobines de 600 M de film 16mm, et dispose en option d’un zoom ce qui permet d’adapter la taille de l’image beaucoup plus facilement et avec moins de recul que l’objectif de 50mm livré en standard.

Il se décline en deux modèles,P7 et P7 TS lecture optique et magnétique. Mais ils sont très similaire quand à l’équipement intérieur et le choix dépendra du type de films à projeter et des moyens.

Condensateur

Projecteur très simple à l’usage

De ce fait li est resté attractif et très prisé des amateurs éclairés, bien que le seul problème rencontré soit « les cosses du condensateur de démarrage » (14uf 400/500V) qui se désagrègent avec le temps qu’il faudra très certainement changer. Voir éventuellement chez les détaillant en matériel électronique.

Par conséquent il faut bien vérifier leurs bonne tenue lors de l’acquisition de ces modèles, vérifier également si les galets tendeurs sont en bon état ainsi que le graisseur.

Le dispositif d’entrainement

il sera utile également de changer la courroie de transmission « plate« car celle-ci ne tient pas vraiment bien après de nombreuses années (1980-1990) donc à vérifier et l’on se réfèrera aux liens pour trouver cette dernière, qui n’est pas bon marché il faut le dire mais vu les nombreux appareils encore en service, cela vaut certainement les quelques euros à débourser.

Et les vitesses

A noter que ce modèle offre deux vitesse de projection,(18 et 24 imgs/s) par un sélecteur qui déplace la courroie sur l’arbre principal.

Le galet de d’entrainement moteur

A noter aussi que la poulie moteur comme celle des « Bell Howell » à des cannelures qui finissent avec le temps par devenir trop lisse et la courroie échappe lors des démarrages. Il existe un outil que l’on place face à la pièces fixée sur le mandrin d’un tour mécanique et qui par pression successives reforme ces dernières. Bien vérifier les frictions des bobines et surtout la friction du bras débiteur.